BRAND-TAINMENT OR DIE ?

Face à la publiphobie croissante, les marques sont contraintes de changer de matrice dans leur contenu. Le discours marchand doit aussi et surtout devenir un bon moment: BRAND TAINMENT

 

Il faut partir d’un constat très simple. Au moment même où les consommateurs sont exposés aux marques, ils sont fatigués. Fatigués de quoi ? de leur journée, de la profusion des messages, et même de leurs propres désirs. On appelle ça le content shock ! Trop de stimuli = saturation neuronale

 

Chacun de nous ne veut plus être traité comme une cible commerciale, mais comme un public. Et ça change tout ! Consommer devient un divertissement, et on n’en attend pas moins des contenus de marque.

 

Quels territoires pour le BRAND-TAINMENT? Ce n’est pas la peine d’aller chercher bien loin. Les genres les plus populaires du cinéma sont des opportunités de contenu toutes trouvées pour les marques.

Territoire 1 : le film d’action. La stratégie du mashup explose. Le réel devient une aventure palpitante qui emprunte ses codes à l’espionnage, au film catastrophe ou au polar (ING direct, Monster, MAAF, Nike,…)

Territoire 2 : la comédie. Le réel devient prétexte à des détournements ludiques. Ou bien encore le produit est incarné par un personnage loufoque (Orangina, Babybel, Magasin U, Apple,…)

 

Que retenir de ce story box ? Divertir est le meilleur des arguments pour les marques, dans un contexte de désenchantement

Bien raconter son époque, c’est d’abord la comprendre!

 

Jean-Emmanuel Cortade de la Saussay

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